Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

bien-être \bjɛ̃.n‿ɛtʁ\ linô kôlï

  1. nzönî dutï
    • Dés qu’il se sentit à couvert, il ralentit sa marche. Il était alors dans l’allée verte qui longe la muraille, derrière les planches. Là, il n’entendit même plus le bruit de ses pas ; l’herbe gelée craquait à peine sous ses pieds. Un sentiment de bien-être parut s’emparer de lui. Il devait aimer ce lieu, n’y craindre aucun danger, n’y rien venir chercher que de doux et de bon — (Émile ZolaLa Fortune des Rougon , G. Charpentier, Paris, 1871, chapitre I ; réédition 1879, âlêmbëtï 9-10)
    • La torpeur qui paralysait son cerveau lui procurait trop de bien-être pour qu’il tentât de la chasser. — (Francis CarcoL’Homme de minuit , 1938)

Âlïndïpa Sepe