Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

biffer \bi.fe\ palî tî mbenze

  1. kpia
    • Le vieillard, décidé à ne biffer sa vie que quand il n’aurait plus une heure à vivre, opposait à toutes les supplications un obstiné « Pas encore ! ». — (Ernest RenanSouvenirs d’enfance et de jeunesse , 1883, collection Folio, lêmbëtï 97)
    • Veut-elle être maîtresse d'école ? buraliste ? télégraphiste ? Les administrations exigent d’elle au préalable un certificat de bonne vie et mœurs, et, comme elle ne peut en produire, on biffe sa candidature. — (Pierre Louÿs, « Liberté pour l’amour et pour le mariage (1900) » na Archipel , 1932)
    • Je le bifferai certainement du manuscrit définitif, et tu n’en sauras sans doute jamais rien. — (Alain DemouzonMes crimes imparfaits , 1978)
    • À En marche !, on murmure que son nom aurait été une première fois biffé pour un poste gouvernemental. — (Anne-Sophie Mercier, « Le pas nouveau du renouveau » na Le Canard Enchaîné , 14 Föndo 2017, lêmbëtï 7)
    • La phrase fut imprimée à l’envi ; on la commenta de bien des manières. Quand on les eut toutes épuisées, on rangea cette mue de lettres sans aucun sens au nombre des idioties sibyllines prouvant une altération morbide de l’esprit et on les biffa des mémoires. — (Robert Darvel, L’Homme qui traversa la Terre , Les Moutons électriques, 2016, lêmbëtï 58)
  2. (Sêndâkônde, Sêboro) (Mbîrîmbîrî nî) mîngo
    • Cet article de compte a été biffé.
    • Il faut biffer un nom, deux chiffres.

Âlïndïpa

Sepe