Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo 1

Sepe
 
Ce pharmacien porte une blouse blanche. (sens 1)

blouse \bluz\ linô gâlï

  1. (Bongö) bongö tî kua
    • L’un des plus âgés s’avança suivi de dix ou douze jeunes paysans, ses fils et neveux ; ils portaient tous le grand chapeau et cette blouse bleue, ancien habit des Gaulois que le peuple de France met encore sur tous ses autres vêtements, et qui convient si bien à son climat pluvieux et à ses laborieux usages. — (Alfred de VignyCinq-Mars , Michel Lévy frères, 1863, II)
    • L’autre grande place de Parthenay, […], comme tous les mercredis grouillait de paysans en blouses bleues toutes neuves rêches comme des chasubles, […]. — (Michel RagonLa Louve de Mervent , éd. Albin Michel, 1985, livre 2, chapitre 1)
    • Blouse de peintre, de sculpteur, de chirurgien, d’infirmier, etc.
    • Jusqu’à la fin, elle protégea ses robes par des blouses & comme c’était la grand-mère & non la femme qui m’intéressait en elle, je ne comprenais pas sa coquetterie, chaque fois que nous voulions la photographier, d’ôter d’abord sa blouse pour être présentable. — (Lionel Labosse, M&mnoux , Publibook, 2018, lêmbëtï 481)
  2. (Füngö-bongö) kanzagô
    • Mariées au lendemain de la Grande Guerre, on les a peut-être vues en robe à pois et blouse à fleurs, l’été, pendant quatre ou cinq ans, le temps que les funérailles entrent dans la danse. — (Maxime RapailleLe feu des Fagnes , Dricot, 2001, lêmbëtï 59)

Âlïndïpa

Sepe