Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

bombarder \bɔ̃.baʁ.de\ palî tî mbenze

  1. sâ-sombo, sâ sungba
    • On la dévasta, comme, au siècle précédent, on avait bombardé d’immenses agglomérations barbares, et parce qu’elle était à la fois trop forte pour être occupée par le vainqueur et trop indisciplinée, trop orgueilleuse pour se rendre dans le but d’échapper à la destruction. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 242)
    • J'étais à Belgrade du 2 au 4 octobre 1914. À cette date, les Autrichiens avaient bombardé la ville pendant trente-six jours et autant de nuits. — (Rodolphe Archibald ReissComment les Austro-Hongrois ont fait la guerre en Serbie , 1915)
    • J’avais été beaucoup plus rarement bombardé du haut des airs, et je me trouvai, devant ce danger-là, presque aussi béjaune que mes conscrits. — (Marc BlochL’étrange défaite : La déposition d’un vaincu , 1940, FolioHistoire Gallimard, 1990, lêmbëtï 86)
    • Le 1er novembre 1954, Fellag a quatre ans lorsque commence la guerre de libération. Les avions bombardent les villages près de Port-Gueydon, mais cela lui semble un jeu, ces bruits, ces mouvements. — (Mohamed FellagDjurdjurassique Bled , Éditions Jean-Claude Lattès, 1999)
  2. (Mbumbuse, Zäzämä) zîa
    • Elle leur aida à faire nommer le frère du Duc de Noailles à l’archevêché de Paris […], en 1695, chose d’autant plus difficile que les jésuites ne l’aimoient pas, [et] que le roi ne le connoissait pas. […] On ne put même l’y bombarder à l’insçu du confesseur, parce qu’il fallut forcer ce prélat. — (Saint-SimonMémoires d’état et militaires du règne de Louis XIV ).
    • À peine arrivés, on nous bombarde sentinelles dans ce trou à rats ! — (Jean-Yves Ferri et Didier ConradAstérix chez les Pictes , Éditions Albert René, 2013, lêmbëtï 35)

Âlïndïpa

Sepe