Yângâ tî Farânzi Sepe

Palî 2 Sepe

bosser \bɔ.se\ kürü palî

  1. (Mbumbuse, Tî halëzo) (Farânzi) sâra kua
    • L’ouvrier monologuait encore : « On dit que l’ouvrier veut plus travailler ! Il a raison ! Celui qui “bosse” en ce moment est un beau con ! » — (Jehan RictusJournal quotidien , cahier 103, p. 158}, 28 février 1920)
    • Lorsque le matin j’arrive dans la cour de l’usine, (...) je vous entends murmurer : « Oh ! Y’en a marre d’aller travailler ! D’aller bosser ! D’aller... Je ne sais quelles expressions triviales — d’aller turbiner ! » Qu’est-ce que ça veut dire, ça, hein ? On a l’impression que ça vous ennuie de venir travailler dans mon usine ! — (Fernand Raynaud, « J’m’amuse » na Heureux ! , Éditions de Provence/La Table Ronde, Paris, 1975)
    • Dans la chambre, son cothurne est penché sur son bureau en train de pougner, comme tous les soirs. On dirait qu'il bosse des sciences de l'ingénieur, ce qu'il y a de plus chiant au monde. — (Emmanuel Arnaud, Le théorème de Kropst , éd. Anne-Marie Métailié, 2012)
    • Dans la police, on bosse, mon vieux, ça n'est pas comme dans l’Éducation nationale, et puis j'avais des récupes à prendre avant les vacances d’été, sinon elles passaient à l’as : j'allais pas en faire don à l’administration. — (Jean-Louis DebréQuand les brochets font courir les carpes , Paris : Éditions Fayard, 2008, chap. 6)

Âlïndïpa Sepe