bouffe
Pasûndâ
Sepebouffe \buf\ linô kôlï wala linô gâtï
- (Mbäkôro) tî nzërëngö
- Une pièce bouffe.
- Jouer les rôles bouffes dans les opérettes, après avoir joué les parents nobles dans la troupe dispersée. — (N. Nikoladzé, La presse de la décadence , IV ; E. Dentu libraire-éditeur, Paris, 1875, lêmbëtï 30)
Pandôo 2
Sepebouffe \buf\ linô gâlï
- (Tî halëzo) # kôbe
- kôbe
- Alors, comment est la bouffe à la cantine ?
- Au milieu de sa famille, dans sa maison, sa bouffe à eux dans ma bouche, puis dans mon tube digestif, puis dans mes intestins, mon estomac, un maximum d’organes, mon sang, et les déchets comme ça on aura les mêmes. — (Christine Angot, La peur du lendemain , nouvelle, supplément au magazine « Elle », 2000, lêmbëtï 18)
- kôbe
- J’organise une bouffe pour fêter mes 20 ans
- kôbe
Pandôo 3
Sepebouffe \buf\ linô gâlï
- ngîâ, tënë tî ngîâ
- C’était une bonne bouffe. Giuseppe avait la spécialité des bouffes de toutes les catégories jusques et y compris les bouffes sang-de-bœuf, ou sang de n’importe quoi. — (Jean Giono, Le hussard sur le toit , 1951, réédition Folio Plus, lêmbëtï 232)
Pandôo 4
Sepebouffe \buf\ linô gâlï
- söngö-ngbângbâ
- Pas digne d’un homme d’éplucher des légumes, qu’il soit un peu comme les autres, à s’intéresser au sport, à hurler pour la moindre mauvaise note, supprimer les sorties et flanquer des bouffes. — (Annie Ernaux, La Femme gelée , 1981, réédition Quarto Gallimard, lêmbëtï 366)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine