Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Des boursouflures de peinture (1).

boursouflure \buʁ.su.flyʁ\ linô gâlï

  1. süküngö
    • Cette masse immense de matière vitreuse, s'étant consolidée par le refroidissement, a formé des boursouflures et des aspérités à sa surface ; elle a laissé en se resserrant une infinité de vides et de fentes, surtout à l'extérieur, lesquels se sont bientôt remplis par la sublimation ou la fusion de toutes les matières métalliques […]. — (Georges-Louis Leclerc de Buffon, « De la figuration des minéraux » na Œuvres , Bibliothèque de la Pléiade, 2007, lêmbëtï 1353)
    • Son nez, très gros dans sa face rasée, semblait la boursouflure d’un mal blanc. — (Émile ZolaNana , 1881)
    • Seulement, il faut croire qu’il existait en dessous une boursouflure, qu'il y avait là comme une sorte de caverne. — (Jules VerneLe Pays des fourrures , Paris: J. Hetzel et Cie, 1873)
    • La vendeuse montre ou seulement regarde la boursouflure au bas de mon blouson, et cela suffit, je sors le sachet en le faisant passer sous le caoutchouc qui le retient et je le tends… — (Nathalie SarrauteEnfance , Gallimard, 1983, collection Folio, lêmbëtï 155)
  2. (Zäzämä) nörö
    • Le parc, devenu public, me parut s’être quelque peu rétréci, mais il faut toujours compter avec les boursouflures du souvenir. — (Marguerite YourcenarSouvenirs pieux , 1974, collection Folio, lêmbëtï 114)

Âlïndïpa

Sepe