Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Dessin humoristique paru dans Le Pélerin n° 2768 du 13 avril 1930

bousculade \bus.ky.lad\ linô gâlï

  1. gbügbürüngö-ndo
    • À toute allure les autobus, les omnibus et les charrettes de commissionnaires voituraient malles et valises vers la gare ; sur les quais envahis, l'exode des hiverneurs d'élite se heurtait à la bousculade des voyageurs de toute espèce. — (Paul MargueritteJouir , 1918, T. 2, lêmbëtï 260)
    • Une bousculade plus violente se produisit ; les petits veaux et les génisses rejetés de droite et de gauche par la poussée des grands bestiaux s’égratignèrent aux ronces flottantes des haies. — (« Un satyre » na Louis PergaudLes Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
    • Il y eut quelques bousculades, d'ailleurs vites réprimées, des cris aigus de filles, des plaintes, des protestations, […]. — (Francis CarcoMessieurs les vrais de vrai , 1927)
    • Une douzaine de jeune gens entouraient une sorte de croquant endimanché, coiffé d'un chapeau melon qui roulait des yeux ahuris et s'efforçait d'éviter la bousculade systématique dont il se voyait l'objet. — (Victor MéricLes Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 94)
    • Et, tandis que la foule transportée hurlait ses acclamations, Ahmed Abdou entraîna Zariffa loin de cette bousculade. — (« Zariffa » na Out-el-KouloubTrois Contes de l’Amour et de la Mort , 1940)

Âlïndïpa

Sepe