Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Boutique du boulanger. (1)

boutique \bu.tik\ linô gâlï

  1. da tî büzë, dabüzë, magazäni
    • Une pluie glacée tombait dans les rues miroitantes. Je marchais le long des boutiques, m’appuyant au rebord des devantures pour ne point m’écrouler sur le trottoir. — (« La Tête coupée » na Octave MirbeauLettres de ma chaumière )
    • M. Tom Smallways était fruitier de son état et jardinier par vocation, et Jessica, sa modeste épouse, vaquait aux soins de la boutique. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 6)
    • J’ai donc repris la file des passants […] et nous avançâmes par saccades à cause des boutiques dont chaque étalage fragmentait la foule. — (Louis-Ferdinand CélineVoyage au bout de la nuit , Denoël et Steele, Paris, 1932, éd. 1942, lêmbëtï 156)
    • En sabots, les manches relevées sur leurs bras blancs, les filles balayaient le devant des boutiques. — (Francis CarcoBrumes , Paris: Éditions Albin Michel, 1935, âlêmbëtï 158)
    • Ils n’avaient pas dépassé la boutique de l’épicier, vers la mer, que le tonitrument de l’autre bal, celui qui était de ce côté-ci du fleuve, s’éleva à son tour. — (Marguerite DurasLes Petits chevaux de Tarquinia , Gallimard, 1968, lêmbëtï 112)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï