Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Boutoir de gueules (sens héraldique)

boutoir \bu.twaʁ\ linô kôlï

  1. (Sêndâsa) yângâ tî gaduru
    • Le Sanglier a les défenses plus grandes, le boutoir plus fort et la hure plus longue que le cochon domestique ; il a aussi les pieds plus gros, les pinces plus séparées et le poil toujours noir. — (Georges-Louis Leclerc de Buffon, « Histoire naturelle des animaux » na « Le Cochon, le Cochon de Siam et le Sanglier », in Œuvres , Bibliothèque de la Pléiade, 2007, lêmbëtï 627)
    • Le solitaire fouilla de son boutoir le sol qu’il labourait avec le tranchant de sa redoutable défense. — (Dominique Bockstael, Le sanglier des Ardennes , 1960)
  2. (Tî kûne) (Sendâvârä) yângâ tî gaduru
    • D’argent à un chêne de sinople englanté d’or, posé sur une terrasse aussi de sinople et traversé au pied d’un sanglier de sable armé d’argent, le boutoir de gueules, qui est de Sedan → bâa illustration « boutoir de gueules »
  3. këngë
    • Je n'arrive vraiment pas à comprendre comment elle peut garder la ligne qu'elle a, avec les quantités qu'elle bouffe. C'est N'Gustro qui doit l'émacier. Pénétration par grand boutoir doit valoir séance de sauna. Je ne sais pas. Ça donne à penser. — (Jean-Patrick ManchetteL'Affaire N'Gustro , 1971, Réédition Quarto Gallimard, Chapitre 31, lêmbëtï 222)

Âlïndïpa

Sepe