Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Des boutures de vigne. (1)

bouture \bu.tyʁ\ linô gâlï

  1. (Zaradäa) ngoangoa
    • Trembley trouvait donc ici deux grands phénomènes, jusque-là regardés comme appartenant exclusivement aux végétaux, la reproduction par boutures et la multiplication par bourgeons ; mais en même temps il voyait ces prétendues plantes se nourrir à la façon des animaux chasseurs, […]. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, « Les Métamorphoses et la généagénèse » na Revue des Deux Mondes , 1856, 2e période, tome 3, pp. 496-519)
    • Malgré son excessive floribondité, elle donne rarement des graines, et on en est réduit à la multiplier de boutures et de couchages. — (Le Bon jardinier: nouvelle encyclopédie horticole , Maison rustique, 1882, lêmbëtï 175)
    • La bouture, fragment de végétal apte à donner naissance à un végétal de même nature, reproduit l’individu dont elle dérive avec tous ses caractères. — (O. Bussard, Cultures légumières , 1943)
    • La vigne, le cognassier, le groseillier, se multiplie facilement par boutures. — (Julien-Alexandre Hardy, Traité de la taille des arbres fruitiers , 1884)
    • Pour cela nous allâmes couper une bouture d’un jeune saule, et nous la plantâmes sur la terrasse, à huit ou dix pieds de l’auguste noyer. — (Jean-Jacques RousseauLes Confessions , 1782-1789, Livre I)
    • Italienne qui pique un géranium rouge dans chaque canon de fusil, méthodiquement, comme si elle faisait des boutures. — (Jean GiraudouxRetour d’Alsace - Août 1914 , 1916)

Âlïndïpa

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