Pandôo

Sepe
 
A boy.

boy \bɔɪ\

  1. môlengê kôlï

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Un boy (sens 5).

boy \bɔj\ linô kôlï

  1. bôi
    • Le boy, un bécon d'une douzaine d'années, attend patiemment, accroupi, la volonté du Céleste ; seuls ses yeux de singe ont salué l'arrivée de Wong-Truch d'un indéfinissable sourire. — (Émilien Soït, Orient, amour, poison et rêve , Éditions Art et travail, 1912, lêmbëtï 43)
    • Aucun luxe, au contraire, une bonhomie spécifiquement belge, un certain laisser-aller même et, à l'encontre du Soudan anglais, des boys familiers, vêtus de blanc, qui vous souriaient de toutes leurs dents. — (Georges SimenonLe Blanc à lunettes , 1937, VI)
    • Un boy l’attendait à côté du chauffeur, un merle dans une grande cage dorée sur ses genoux.— (André MalrauxLa condition humaine , 1946;réédition Folio Plus Classiques, 2019, lêmbëtï 207)
    • — J’ai compris, m’écriai-je. Marie-Jeanne torture ses poursuivants, comme le boy le colon.
      Cordélia protesta violemment.
      Jusqu’à nouvel ordre, c’est le colon qui bat le boy.
      — C’est pourquoi, quand les circonstances permettent au boy de frapper à son tour le colon, il perd tout contrôle. Il a trop d’humiliations à venger. Il danse autour de l’agonisant, comme moi autour du serpent.
      — (Roger Vailland325.000 francs , 1954, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 131)
  2. (Mozën tî Angelëe) (Kanadäa) matê, kulä

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï