Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

 
Un mur en briques pleines. (sens 1)

brique \bʁik\ linô gâlï

  1. (Döngöderê, Sêndâkodë-da) birîki
    • Cheikh Gaafar possédait une maison, toute neuve, en bordure des champs, à l’écart du village. C’était une maison en briques, entourée d’un jardin, avec de grandes fenêtres et des balcons. Une vraie maison d’homme riche. — (« Zaheira » na Out-el-KouloubTrois contes de l’Amour et de la Mort , 1940)
    • Le vénérable pont sur le Tarn a non seulement de hautes arches en ogive, mais ses piles de briques, entre les voûtes et au-dessus des avant-becs, sont percées de baies du même style. — (Ludovic NaudeauLa France se regarde , 1931)
    • Elle descendit avec lenteur, en se balançant ainsi, au niveau de la fenêtre du premier étage, puis elle s’efforça de gagner une mince cimaise de briques vernies qui partait de l’extrémité de la marquise. — (André DhôtelLe Pays où l’on n’arrive jamais , 1955)
    • La cloison n’était faite que de « crottes de trois », qui sont des briques creuses et fort minces, ce qui la rendait transparente au moindre soupir. — (Marcel PagnolLe temps des secrets , 1960, collection Le Livre de Poche, lêmbëtï 40)
    • Ils achetèrent de longues planches à peine équarries et des briques à douze trous et couvrirent deux moitiés de murs de rayonnages.— (Georges PerecLes Choses , Julliard, 1965, réédition 1984, lêmbëtï 126)

Âlïndïpa Sepe