bru
Yângâ tî Ngbêne Angelë
SepePandôo
Sepebru \sêndagô ?\
Pandôo 1
Sepebru \bʁy\ linô gâlï
- (Sëwä) (Kanadäa) (Mbäkôro) wôgarä
- Par un hasard assez rare, elle était au mieux avec sa bru ; il faut dire qu’Angèle n’avait pas une volonté et qu’on pouvait disposer d’elle comme d’un meuble. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon , 1871;G. Charpentier, Paris, 1879, chapitre II, lêmbëtï 77)
- Le fils aîné de Mariette est à la guerre. Avec elle est restée sa bru, la frêle, taciturne et héroïque Anne-Marie, […]. — (Léon Trotsky, Le Drame du prolétariat français , 1922, annexe à l’édition de 1964 de Littérature et Révolution (les Lettres Nouvelles, éditeur))
- La belle-mère ne se consolait pas d’avoir une bru qui lui ressemblât si peu. — (« Zaheira » na Out-el-Kouloub, Trois Contes de l’Amour et de la Mort , 1940)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine