café
Pandôo
Sepecafé \ka.ˈfe\
Pandôo
Sepecafé \ka.fe\ linô kôlï
- kâwa
- On ajoute quelquefois, après le grillage, un peu de beurre pour lustrer les cossettes et leur donner l’aspect du café brûlé. — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes , 1869, Charleville: E. Jolly, âlêmbëtï 131)
- Caféine. — Existe dans beaucoup de plantes, café, thé, cola, maté, guarana. — (Cousin et Serres, Chimie, physique, mécanique et métallurgie dentaires , 1911)
- Les producteurs n’utilisent aucun produit chimique et emploient comme engrais du fumier, de l’écalure de café et du tourteau de ricin. — (Études rurales : Cafés et caféiers : Singularités et universalité d’une production mondialisée , Éditions de l’École des hautes études en sciences sociales, n° 180, juillet-décembre 2007, lêmbëtï 225)
- kâwa, kafëe
- Ils aiment bien vivre après avoir bien travaillé ; un verre de vin ou de cognac ne leur fait pas peur, et ils se paient assez souvent le café, le pousse-café et le reste. — (Émile-Ambroise Thirion, La Politique au village , p. 135}, Fischbacher, 1896)
- Elle prépara le café devant son amie, avec un grand soin, en versant l’eau bouillante goutte à goutte. Et dès qu’il en eut passé la valeur d’une tasse, elle ne voulut rien entendre : elle servit Catherine Chotard ; il fallut que celle-ci bût le premier café passé, qui est toujours le meilleur. — (Charles-Louis Philippe, Dans la petite ville , 1910, réédition Plein Chant, âlêmbëtï 135-136)
- Aujourd’hui, je médite ; je me rappelle avoir été frappé, partout où je suis allé, d’apercevoir dans les débits, dès la première heure du matin, des masses de gens, hommes ou femmes, corsant leur café par des rasades d’eau-de-vie. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde , 1931)
- Le café est un breuvage qui fait dormir quand on n’en prend pas. — (Alphonse Allais, Les Pensées )
- Mamie boit du thé noir au petit déjeuner, du thé parfumé à la bergamote. Même si je ne trouve pas ça terrible, ça a toujours l’air plus gentil que le café, qui est une boisson de méchant. — (Muriel Barbery, L’élégance du hérisson , 2006, collection Folio, lêmbëtï 113)
- (Tôngbi) nganda
- Un mandoliniste grattait son instrument comme dans un café de province où les habitués sont demeurés de mœurs paisibles. — (Francis Carco, Images cachées , 1928)
- Tous les soirs, sa besogne achevée, Helmy venait s’attabler à un petit café proche de la maison de Nazira. — (« Nazira » na Out-el-Kouloub, Trois Contes de l’Amour et de la Mort , 1940)
- À travers les vitres des brasseries et des cafés, on distinguait confusément, un peu partout, la foule des consommateurs gesticulant parmi la fumée des cigarettes. — (Francis Carco, L’Homme de minuit , 1938)
- Ce fut, en ce temps de relative splendeur, qu’un soir de bombe, à Montparnasse, il cueillit Geneviève à une table de café. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, âlêmbëtï 29-30)
- Inquiets, certains clients quittent le café mais, à peine sortis, s’arrêtent derrière la vitre pour contempler une dernière fois le soulographe. — (Jean-Michel Olivier, Les Innocents , L’Âge d’Homme, 1996, lêmbëtï 42)
- C’est, par exemple, dans un café, ce qui nous permet de distinguer la conversation qui a lieu autour de la table de la rumeur de la pièce. — (Cécile Peltier na Ola Söderström, « Il est possible d’adapter l’espace urbain afin d’atténuer le stress des personnes souffrant de psychose » na Le Monde , 20 Ngubê 2020 → dîko mbëtï)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï
Pandôo
Sepecafé \kɑˈfɛ\