Bâa ngâ : Canaille

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

canaille \ka.naj\ linô gâlï

  1. (Könöngö) wakarapîri, walikisï
    • Il s’est conduit comme une vile canaille.
    • Vous n’êtes qu’une canaille.
    • Ces canailles de domestiques me laissent toujours seul.
    • Et j’y allais d’autant plus de bon cœur à l’appeler canaille, ce pauvre M. Guizot, que, dans ma tête, je le confondais avec un grand coquin de sergent de ville qui se tenait au coin de la rue de l’Orillon et me faisait toujours des misères, par rapport à ma charrette de copeaux… — (Alphonse Daudet, Les trois sommations, Contes du lundi , 1873, Fasquelle, collection Le Livre de Poche, 1974, lêmbëtï 170)
    • Elle se campa devant son homme et lui rugit à la face :
      — Brigand, canaille, gouilland, voleur, soulaud ! Tout le répertoire y passa.
      — (« Le retour » na Louis PergaudLes Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
    • On te mettra dans une tombe, vieille canaille,
      Et moi j’irai faire la bombe, vieille canaille,
      À coup de petits verres d’eau de vie, la plus belle cuite de ma vie,
      Sera pour tes funérailles, vieille canaille. — (Serge Gainsbourg, « Vieille canaille » na Aux armes et cætera , 1979)

Âlïndïpa

Sepe