Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

canne \kan\ linô gâlï

 
Une canne (3) de marchand Châlus.

canne \kan\ linô gâlï

  1. kpongbo
    • L’enfant retomba dans les plis de son manteau dont je l’enveloppai, et sa petite main ornée de grosses bagues laissa échapper une canne de jonc, qui tomba sur ma main comme s’il me l’eût donnée.— (Alfred de VignyServitude et grandeur militaires , 1835)
    • Mon oncle avait une longue canne, terminée par une brochette de fer, au moyen de laquelle il enfilait les limaces et les escargots, mangeurs de salades. — (« Mon oncle » na Octave MirbeauContes cruels )
    • […] mais Jimmy le faisait méchamment trébucher, en le happant du crochet de sa grosse canne blanche, et les deux hommes tombaient à terre, ensemble […] — (Francis CarcoL’Homme de minuit , 1938)
    • Il s’appuyait sur une canne seulement et de telle manière que l’instrument de secours devenait un attribut de majesté.— (Joseph KesselLes Cavaliers , Gallimard, 1967)
    • Puis, d’après nous [orangs-outangs], le genre humain marcha droit la canne à la main. — (Pierre Jean de Béranger, Les Orangs-outans , 1854)
    • Porter une canne à la main. — Marcher avec une canne. — Canne à épée.
    • Une canne à pomme d’or, à pomme d’argent, à pomme d’ivoire.
    • Canne plombée.
      • Il y avait des gens de police parmi les agresseurs, mais ils n’avaient pas eu à donner le signal. Il leur suffisait de suivre la fureur publique et de choisir alors, dans le tas, ceux qu’ils reconnaissaient pour les avoir vus dans les complots, aux réunions, le jour de la manifestation Baudin ou de l’enterrement de Victor Noir. Sitôt l’homme désigné, la canne plombée et le casse-tête s’en payaient ! — (Jules VallèsL’Insurgé , G. Charpentier, 1908)
    • Donner des coups de canne.
    • Lever la canne sur quelqu’un. → bâa lever la canne

Âlïndïpa Sepe