Yângâ tî Farânzi

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Penzelö tî pandôo

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La canne à sucre.

canne à sucre \ka.n‿a sykʁ\ linô gâlï

  1. (Bangë) angbökö; ngâakô
    • Pendant longtemps le sucre ordinaire a été extrait exclusivement de la canne à sucre ; cette opération se pratique encore, surtout dans les Indes et en Amérique. — (Edmond NivoitNotions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes , 1869, lêmbëtï 121)
    • À nouveau, Helmy lui essaya des bracelets. Et c’était pour lui, le prétexte à toucher, de ses doigts brûlants, des poignets blancs comme la pulpe de la canne à sucre. — (« Nazira » na Out-el-KouloubTrois Contes de l’Amour et de la Mort , 1940)
    • En début d’année, on apportait à la raffinerie la récolte de canne à sucre des mois précédents. Une odeur très forte se dégageait des tiges écrasées puis brûlées. C’était pour le sucre que les Français avaient investi l’île ; […]. — (Françoise Vergès, « À vos mangues ! » na Politique africaine , gbïänngö tî Dominique Malaquais, 2005/4, n° 100, lêmbëtï 321)
    • La compagnie brésilienne de biodiesel Biomasa, envisage de planter deux millions d'hectares de jatrophe cette année et l'on pense que le jatrophe dépassera la canne à sucre comme principale source de bioéthanol cette année au Brésil. — (« Fabrication de bioéthanol à partir d'une robuste plante indienne dont personne ne voulait autrefois » na Défis en matière de développement, Les solutions Sud-Sud: Bulletin d'information électronique de l’unité spéciale pour la coopération Sud-Sud au sein du PNUD , Föndo 2007)

Âlïndïpa

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  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï