Angelë Sepe

Pandôo Sepe

cape \sêndagô ?\

  1. zägbö
  2. kâpe

Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo 1 Sepe

 
Un homme portant une cape (1).
 
Un toréador et sa cape (2).

cape \kap\ linô gâlï

  1. (Bongö) kötä-bongö
    • À la suite venaient vingt-deux individus, en tête desquels marchait Barthélemy Panciatichi, ancien ambassadeur du grand-duc Cosme à la cour de France, vêtu de la cape et du san-benito parsemé de croix. — (Cesare Cantù, Histoire universelle , 1855)
    • Ce qui achève le cauchemar, c’est le lugubre postillon en vieille cape déguenillée qui sautille éternellement dans la clarté jaunâtre. — (Hippolyte TaineVoyage en Italie , volume 2, 1866)
    • L'homme, qui était un garde-côte, comme le faisait voir sa cape d'uniforme, épiait toutes les manœuvres du trois-mâts et semblait en prendre note mentalement. — (Victor HugoLes Travailleurs de la mer , édition de Librairie du Victor Hugo illustré, 1865, partie 1 : Sieur Clubin, livre 5 : Le révolver, chapitre 8, lêmbëtï 169)
    • Puis un frémissement courut. L'ex-Roi des Rois, une cape noire sur sa tunique blanche, gagnait la tribune. — (Victor MargueritteLe cadavre maquillé : La S.D.N. (Mars-Septembre 1936) , Flammarion, 1936, lêmbëtï 84)
    • Marie arriva bien vite, sa cape jetée à la hâte sur ses épaules, sa calipette de travers d'avoir tant couru, […]. — (Daniel Cario, Les Moissonneurs de l'Opale , Presses de la Cité, 2013, chapitre 43)

Âlïndïpa Sepe