Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

capituler \ka.pi.ty.le\ kürü palî

  1. zîa birä
    • Ville qui capitule est à demi rendue, quand on écoute des propositions, on est près de les accepter.
    • Les défenseurs, après avoir perdu les faubourgs, manquant d’eau, furent obligés de capituler. Le siège entrepris par l’armée des croisés ne dura que du 1er au 15 août, jour de la reddition de la place. — (Eugène Viollet-le-DucLa Cité de Carcassonne , 1888, ch. Histoire)
    • Il est possible que, dans bien des cas, cet audacieux déploiement d’étendards, par une ville qui avait déjà capitulé, ne fût que le résultat du sans-gêne national. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 233)
    • On ne put les forcer dans le poste où ils s’étaient retranchés et ils obtinrent de capituler honorablement.
    • Capituler avec sa conscience, prendre une résolution peu délicate, en s’efforçant de se persuader qu’on est dans un cas d’exception ou que des circonstances impérieuses ne permettent pas d’agir autrement.

Âlïndïpa

Sepe