Bâa ngâ : cavalièr

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo 1

Sepe
 
Cavalier français de 1799 (1, 2).

cavalier \ka.va.lje\ linô kôlï

  1. (Kpëngö na mbârâtâ) wambârâtâ
    • Un instant le cheval et le cavalier s’enfoncèrent dans un ravin, puis bientôt reparurent de l’autre côté, suivant à travers la plaine un chemin qu’ils semblaient bien connaître tous deux. — (Alexandre DumasOthon l’archer , 1839)
    • Lundi 1er août, une centaine de cavaliers et meneurs avec leurs chevaux, vététistes et attelages, ont emprunté les chemins vététistes, équibreizh ou communaux. — (journal Le Télégramme , édition Morlaix, 3 Kükürü 2022, pages locales, lêmbëtï 4)
    • Accompagné de trois cavaliers, il approchait de Troyes : avec sa monture, il y avait donc quatre chevaux. — (Léon BermanHistoire des Juifs de France des origines à nos jours , 1937)
    • Nous admirions des choses nouvelles, […]. Des cavaliers à burnous flottant galopaient sur des chevaux merveilleux. — (AlainSouvenirs de guerre , Hartmann, 1937, lêmbëtï 112)

Pasûndâ

Sepe
 
Vue cavalière de la Cité de Carcassonne par Eugène Viollet-le-Duc

cavalier \ka.va.lje\

  1. polêlê
    • Le matin surtout, après mon réveil, je m’abîme en conjectures craintives, en supputations décourageantes. Le soir, vers onze heures ou minuit, j’ai à la fois des vues plus amples, une volonté plus cavalière, un détachement de la vie qui se tourne en mépris du risque. Par malheur, je ne prends mes résolutions que le matin ; c’est un principe. — (Jules RomainsLes Copains , 1922, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 29)
    • Avoir l’air cavalier, la mine cavalière.
    • Prendre des airs cavaliers.

Âlïndïpa

Sepe