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Yângâ tî FarânziModifier
Pasûndâ kambisa Modifier
ce \sə\
- nî, sô
- Ce chien est adorable. (sous-entendu : il n’y a qu’un seul chien)
- Ce chien-ci est adorable. (sous-entendu : le chien dont on vient de parler, ou le plus proche)
- Ce chien-là est adorable. (sous-entendu : l’autre chien, le plus éloigné)
- Je vais prendre ce chemin.
- Je me suis adressé à cet homme.
- Cette femme est mère de trois enfants.
- Ces livres sont intéressants.
- Il est impossible de sortir par ce temps-là.
- ...
- Je ne veux pas prendre ce chemin-ci, mais ce chemin-là.
- Plutôt que d’acheter cette voiture-ci, je préférerais prendre celle-là.
- ...
- Ces jours-ci, on ne le voit pas beaucoup.
- Cette semaine-ci, je ne pourrai pas venir.
- Qu’est-ce que tu fais encore debout à cette heure-ci ?
- Durant ces années-là, je voyageais en Europe.
- — Je suis passé vers dix heures hier soir.
— À cette heure-là, je n’étais pas encore rentré.
- ...
- La semaine dernière, j’ai lu L’Histoire sans fin de Michael Ende. Je ne connaissais pas ce livre.
- Je cherche depuis tout à l’heure un marteau. J’ai vraiment besoin de cet outil.
Polïpa fängö-yê Modifier
ce \sə\ linô kôlï
- ...
- Ainsi, vous serez en mesure de l’interroger depuis un autre téléphone et ce, même lorsque vous vous trouvez à l’étranger. — (« Vous avez une messagerie... » na Pierre Mainguenaud, Mobiles magazine , Föndo 2001, lêmbëtï 60)
- Ce serait le comble qu’il ne vienne pas !
- C’est mon anniversaire aujourd’hui.
- Dépêche-toi, sinon, ce sera trop tard !
- Ça sonne ! Ce doit être lui !
- Profites-en ! Ce pourrait être ton dernier jour ici.
- Sur ce, au revoir !
- Ç’avait été plus intéressant qu’on ne l’avait imaginé.
- ...
- Les hirondelles s’envolent, ce qui montre que l’hiver n’est pas loin.
- Ce que je voulais dire, c’est que tu dois t’en occuper au plus vite.
- C’est exactement ce dont j’avais besoin.
- Le temps, c’est ce sur quoi il va falloir compter maintenant.
- ...
- Le temps, c’est de l’argent.
- La Révolution, c’est la France sublimée. — (Victor Hugo, William Shakespeare , Troisième partie, Livre II, 1864)
- La patrie, pour elle, c’est la France. L’étranger, pour elle, c’est l’Allemagne. — (Fustel de Coulanges, L’Alsace est-elle allemande ou française : réponse à M. Mommsen , 1870)
- ...
- Oui, c’est moi qui reçois cette lettre pressée, et c’est moi qui ris de toute mon âme de la ridicule frayeur qu’elle nous peint. — (Donatien Alphonse François de Sade, Aline et Valcour , Lettre XII, 1795)
- Ce n’est point à la liberté politique que je veux renoncer ; c’est la liberté civile que je réclame, avec d’autres formes de liberté politique. — (Benjamin Constant, De la liberté des Anciens comparée à celle des Modernes , 1819)
- ...
- — Qu’est-ce qui se passe ?
— C’est mon bébé qui pleure.
- — Qu’est-ce qui se passe ?
Pandôo Modifier
ce \sə\
- (Mbäkôro) danga,da
- Par un usage général fort ancien, on a toléré certaines abréviations comme n’étant pas nuisibles, telles que celles de Mr ou sr pour Monsieur ou sieur ; Me pour maître ; Mme ou De pour Madame ou dame ; MM. pour Messieurs ; fol., ro, vo, ce, vol., no pour folio, recto, verso, case, volume, numéro ; led., lad., lesd. pour ledit, ladite et lesdits ou lesdites. — (L. Vélain, Cours élémentaire du notariat français , Auguste Durand, Libraire, Paris, 1851)
ÂlïndïpaModifier
- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï