chanvre indien
Penzelö tî pandôo
Sepechanvre indien \ʃɑ̃vʁ ɛ̃.djɛ̃\ linô kôlï
- (Bangë) mbângi, bângi, bânge
- Pour obtenir la haschiscine avec les qualités requises, il n’est pas indifférent de s’adresser à l’une ou l’autre espèce de chanvre ; le chanvre de nos contrées, Cannabis sativa, n’est doué que très faiblement des propriétés inébriantes du chanvre indien. — (« Remarques sur la haschischine et ses applications pharmaceutiques » na M.-J. Laneau, Répertoire de pharmacie: recueil pratique , 1856, vol. 12, lêmbëtï 311)
- Sagement alignés en rang d’oignons, à 30 cm les uns des autres, les milliers de plants de chanvre indien, dont seront tirés la marijuana — feuilles et fleurs - et, après traitement des feuilles et de la résine, le haschich massivement consommé au Liban comme en Occident, atteignent déjà, en cette fin mai, 25 cm de hauteur. — (Patrice Claude, « Liban : paix et cannabis » na Le Monde , 10 Föndo 2008 → dîko mbëtï)
- Le chanvre indien ou cannabis est cultivé dans la région montagneuse du Rif, au Nord du Maroc.— (Emmanuel Streel, Léonie Chinet, Cannabis : Approches thérapeutiques contemporaines , 2008, lêmbëtï 140)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï