Bâa ngâ : Chauffeur

Angelë Sepe

Pandôo Sepe

chauffeur \ʃoʊ.ˈfɝ\

  1. (Yöngö) sofëre

Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

 
Un chauffeur de bus au Rwanda
 
ca. 1850. Les chauffeurs des campagnes (4).
 
1803. La berline à vapeur de Trevithicks et son chauffeur (5).

chauffeur \ʃo.fœʁ\ linô kôlï linô gâlï

  1. wagbötöngö-kutukutu, wakutukutu
    • Parfois, il s’enfonçait subitement, se relevait, et Mademoiselle lançait au timonier ce regard dont on punit le chauffeur, en auto, qui n’a pas prévu un dos d’âne. — (Jean GiraudouxSuzanne et le Pacifique , Grasset, 1967)
    • Il était donc logique qu’en juillet 1958, je termine mon voyage de noce en ce haut lieu (châteaux de la Loire en 2 CV et guitoune de camping) avec pour chauffeur mon tout nouveau beau-frère, car je ne savais pas encore conduire. — (Gabriel Cohn-BenditNous sommes en marche , Éditions Flammarion, 1999, lêmbëtï 112)
  2. (Könöngö) mâsa
    • Un chauffeur de taxi âgé mange une sorte de flaque de jambon grise et triste comme la figure du premier ministre Bourassa sur Montréal-Matin. — (Réjean DucharmeL’hiver de force , Gallimard, 1973)
    • Il trônait à l’arrière de son magnifique torpédo Delaunay-Belleville que le chauffeur de service démarre lui aussi à la manivelle, mais sans effort et toujours du premier coup ! — (Anne Muratori-Philip, Jean-Claude Seven, 12 voitures qui ont changé l'Histoire , Pygmalion, 2012)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï