chemise
Pandôo
Sepechemise \ʃmiz\ wala \ʃə.miz\ linô gâlï
- (Bongö) kate tî bongö, katebongö, ndüzü tî bongö
- Chacune a quitté, pour se mettre à l’aise,
La fine chemise au frais parfum d’ambre,
La plus jeune étend les bras, et se cambre. — (« Les Pensionnaires » na Paul Verlaine, Parallèlement ) - Yasmina, toujours triste et silencieuse, passait toutes ses journées à coudre de grossières chemises de toile. — (Isabelle Eberhardt, , 1902)
- Il se leva tout à fait, passa la main entre l’échancrure de son gilet et le plastron de sa chemise qui godait, tira les revers de son habit, et s’assura que le nœud de sa cravate n’avait pas été dérangé. — (Octave Mirbeau, Le colporteur )
- Les chemises de mon mari avaient besoin de boutons et le raccommodage des ses effets m’incombait, naturellement ! — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes , L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954)
- Avec cette chaleur, en pleine nuit, il porte sur le crâne, de guingois, un Borsalino beige, une chemise à pois blancs sur fond noir qui zigzague au bombé de l’estomac. — (Leïla Rezzoug, Douces errances , L’Harmattan, 1992, lêmbëtï 4)
- Chacune a quitté, pour se mettre à l’aise,
- (Dakängö-kugbëmbëtï) semîzi
- Mettez une chemise à cette liasse, à ce dossier.
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï