chenapan

Yângâ tî Farânzi

Pandôo

chenapan \ʃə.na.pɑ̃\ linô kôlï

1. (Tî halëzo) kpändä
   • On eut beau lui dire qu’Antoine était le pire des chenapans. — (Émile Zola, La Fortune des Rougon , 1870)
   • Pourtant la chose en soi était grave ; ce n’est pas tout que de dire  : vos filles sont des dévergondées et vos garçons des chenapans  ; mais… il n’y aurait pas que des vieillards et des adultes à l’église, il y aurait aussi des enfants. — (« Le Sermon difficile » na Louis Pergaud, Les Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
2. godobewakîrîkiri
   • Que je ne t’y reprenne pas/plus, petit chenapan.
   • Le loup eut beau frapper à la porte, présenter la belle boîte de pralines. Rien n’y fit. Il dut s’en aller très en colère et bien décidé à manger ces petits chenapans d’une manière ou d’une autre.

Âlïndïpa

• Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine