Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Cheval islandais. (1)
 
Armoiries avec un cheval (sens héraldique)

cheval \ʃə.val\ wala \ʃval\ linô kôlï

  1. (Sêndâsa) mbârâtâ
    • […] ; sous le hangar, les chevaux, harcelés par les mouches et piqués par les taons, s’ébrouaient […]. — (« La Bonne » na Octave MirbeauLettres de ma chaumière , 1885)
    • Accompagné de trois cavaliers, il approchait de Troyes : avec sa monture, il y avait donc quatre chevaux. — (Léon BermanHistoire des Juifs de France des origines à nos jours , 1937)
    • Nous admirions des choses nouvelles, […]. Des cavaliers à burnous flottant galopaient sur des chevaux merveilleux. — (AlainSouvenirs de guerre , Hartmann, 1937, lêmbëtï 112)
    • Au Tchad, nous changerons nos chevaux de réquisition (qui sont d’insignes rosses) et nos bêtes de somme contre des chameaux pour continuer notre route dans la zone désertique d'Agadem. — (Louis AlibertMéhariste, 1917-1918 , Éditions Delmas, 1944, lêmbëtï 23)
    • Dès sa première communion, gagé par l’un ou par l’autre, […], il était sans l’avoir appris devenu habile à menuiser, à charronner, à réparer un coutre, à ferrer un cheval. — (Jean RogissartHurtebise aux griottes , L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, âlêmbëtï 10)
    • Le Pourquoi pas, lutte, lutte toujours. Mais déjà les chevaux blancs des Walkyries hennissent dans les rafales. — (José Gers, Sur la mort du Pourquoi pas ? , France libre, 1936, volume 6)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï