Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

 
Un chien (1)
 
Le chien (10) d’un révolver
 
Le chien (13) d’une vielle
 
Armoiries avec un chien (14)

chien \ʃjɛ̃\ linô kôlï

  1. (Sêndâsa, Nyama) mbo
    • Il faut que les piqueurs aient l’œil à terre dans tous les lieux où ils croiront de pouvoir en revoir, afin d’aider à leurs chiens & s’assurer que c’est le cerf de la meute qu’ils chassent. — (Encyclopédie ou Dictionnaire universel raisonné des connoissances , tome 42, 1775, lêmbëtï 19)
    • Le chien s’était mis à rôder dans les environs, fouillant avidement les tas d’ordures, sans doute pour y déterrer un os ou quelque régal de ce genre. — (Octave Mirbeau« La Mort du chien » dans Lettres de ma chaumière , 1886)
    • Quelques chiens, des braques hongrois, gambadent sur les pelouses. — (Daniel Apruz, Le coq , 1992)
    • Le chien, qui se faisait vieux et n’aimait point à découcher, était, comme d’habitude, rentré dès le premier soir et gardait le coin du feu, car on était en hiver. — (Louis Pergaud, « Le Retour » na Les Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
    • Les chiens distinguent-ils les hommes de leurs sœurs les jeunes filles, de leurs femmes les femmes ; les chiens peuvent-ils être attentifs à d’autres qu’à la vieille demoiselle en visite qui leur dit, grattant le dessous de sa chaise : « Le chat ! » — (Jean GiraudouxProvinciales , Grasset, 1922, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 123)
    • L’ouverture donnait sur la loge de Gaby Million où la vedette avait laissé ses chiens. Les bêtes se mirent à aboyer.
      — Naturellement c’est plein de cabots, crut devoir déclarer spirituellement Mr. Morgan.
      — (Francis CarcoL’Homme de minuit , 1938)

Pasûndâ Sepe

chien \ʃjɛ̃\

  1. (Mbumbuse, Zäzämä)wakïön
    • D'ordinaire il n'est pas chien du tout ; il serait même plutôt prodigue. — (Hervé BazinCri de la chouette , Grasset, 1972, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 172)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï