cil
Pandôo
Sepecil \sil\ linô kôlï
- (Sêndâ-saterê) küälê, küä tî lê
- C’étaient des yeux extraordinaires, bleus, mais foncés et brillants à la fois, humides, las, en pleurs et en feu, presque fermés sous le poids des cils et des paupières. — (Pierre Louÿs, Aphrodite , 1896)
- Un soldat trapu, avec des cils blancs dans sa figure rubiconde coupée d’une balafre, apparut sur le seuil […]. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 247)
- Puis, mes cils battant, devant l’armoire à glace, je les coupai. Estelle d’ailleurs ne s’en est pas aperçue, car les siens lui sont inutiles. Qu’il pleuve ou qu’elle pleure, elle essuie ses yeux avec sa main. — (« Sainte Estelle » na Jean Giraudoux, Provinciales , Grasset, 1922, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 42)
- Elle dérobait du kohl à sa mère pour s’en noircir les cils et donner à ses yeux agrandis la langueur du regard des gazelles. — (« Zariffa » na Out-el-Kouloub, Trois Contes de l’Amour et de la Mort , 1940)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï