Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

ciment \si.mɑ̃\ linô kôlï

  1. (Kïngö, Sêndâdünîa) simän/simäa
    • Si un édifice se renverse, n’essayez pas de le maintenir debout en jetant sur les murs une couche de ciment, mais empêchez-le de s’écrouler en renforçant la base. — (Jean Déhès, Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France , École impériale vétérinaire de Toulouse, Thèse de médecine vétérinaire, 1868)
    • D’autre part, ces moellons de diverse taille, sont liés par un ciment […]. Le ciment, dit-il, est composé de chaux, de sable et d’eau ; […]. — (Joris-Karl HuysmansLa Cathédrale , Plon-Nourrit, 1915)
    • Mon père montra une très fine ligne grise, qu’il gratta du bout de l’ongle. Des paillettes s’en détachèrent ; il les brisa entre ses doigts et les examina un instant.
      « Ce n’est pas du ciment sous-marin, dit-il. Et d’autre part, la proportion de sable est trop forte. »
      — (Marcel PagnolLe château de ma mère , 1958, collection Le Livre de Poche, page 244-245)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï