Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

colimaçon \kɔ.li.ma.sɔ̃\ linô kôlï

  1. ngörö
    • Les enfans détachent du rocher les patelles, les turbo, les buccins, espèces de colimaçons de mer. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, « L’Archipel de Chausey, souvenirs d’un Naturaliste » na Revue des Deux Mondes , 1842, tome 30)
    • Et puis après, qu’il neige, qu’il tonne, que les éléments se déchaînent, je m’en moque comme un colimaçon d’un chronomètre ! — (Jules VerneLe Pays des fourrures , Paris: J. Hetzel et Cie, 1873)
    • Vos airs sont fades et votre souffle écourté comme vos idées et vos plaisirs. Vous êtes une race de colimaçons, humant toujours même vent, et suçant même écorce ; car vous pensez que le monde finit à ces collines bleues qui cerclent votre ciel, et qui sont les forêts de mon pays. — (George SandLes Maîtres sonneurs , George Bell and sons, 1908, âlêmbëtï 72-73)
    • Après quoi, pour me récompenser, elle me disait : « Ouvre la bouche, et ferme les yeux ! » et je devais croquer ce qu’elle déposait sur ma langue : ce fut d’abord un berlingot, puis une cerise, puis un colimaçon. — (Marcel PagnolLe temps des secrets , 1960, collection Le Livre de Poche, lêmbëtï 183)

Âlïndïpa

Sepe