Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

commerce \kɔ.mɛʁs\ linô kôlï

  1. büzë
    • Mais il n’importe pas seulement de connaître les finesses du métier, il faut surtout être perspicace pour ce qui est répréhensible, nous voulons parler des moyens frauduleux auxquels se livrent peu ou prou tous ceux faisant commerce de chevaux. — (Gabriel Maury, Des ruses employées dans le commerce des solipèdes , Jules Pailhès, 1877)
    • Autrefois, nos écorces se vendaient à vil prix, et nos cuirs n’avaient pas une grande valeur ; mais nos écorces et nos cuirs, une fois bonifiés, la rivière nous permit de construire des moulins à tan, il nous vint des tanneurs dont le commerce s’accrut rapidement. — (Honoré de BalzacLe Médecin de campagne , 1833, édition de 1845, chapitre premier)
    • Le temps approche où le grand commerce va, plus que les guerres de chevalerie, tenter les jeunes Anglais aventureux. — (André MauroisHistoire de l'Angleterre , Fayard & Cie, 1937, lêmbëtï 236)
    • Il y eut certes des juifs qui s’adonnèrent au commerce, et qui poursuivirent des négoces importants. Mais pendant de longs siècles le commerce n’est pas l’occupation principale des juifs. Le commerce de l’argent, si décrié par le Talmud, encore moins que les autres. — (Léon BermanHistoire des Juifs de France des origines à nos jours , 1937)
    • La vie urbaine dépérit et, comme la civilisation islamique médiévale était elle-même essentiellement urbaine et que la richesse matérielle dépendait du commerce, la prospérité déclina. — (Panayiotis Jerasimof Vatikiotis, L’Islam et l’État , 1987, traduction d’Odette Guitard, 1992)
    • Je n’avais depuis l’origine que dégoût pour le commerce et tout ce qui s’y apparente, l’idée de « hautes études commerciales » était à mes yeux une profanation de la notion même d’études. — (Michel HouellebecqSérotonine , Flammarion, 2019, âlêmbëtï 30-31)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï