communion
Pandôo
Sepecommunion \kɔ.my.njɔ̃\ linô gâlï
- (Mbäkôro) bêôko
- Les communes d’Etalle et de Sainte-Marie possédaient indivisément une certaine étendue de bois dans le ci-devant département des Ardennes. Désirant l'une et l'autre faire cesser cette communion , le 11 brum., an XIV, la commune d'Etalle demanda l'autorisation de procéder au partage , […]. — (« Commune de Sainte-Marie C. commune d'Etalle » na Ledru-Rollin, Journal du Palais: Recueil le plus complet de la jurisprudence belge , (cité en exemple) publié par F.-F. Patris, année 1941, Paris, 1841, lêmbëtï 436)
- béôko
- Évidemment, on était bien loin des grands moments de « communion » : le spectacle sur la montagne, à Montréal, de 1975, organisé et animé par Lise Payette. (Qu’on y soit allé ou non, cet événement est devenu légendaire, fondateur.) — (Antoine Robitaille, « Fête nationale: va-t-on se reprendre cet été ? » na Le Journal de Québec , 16 Mbängü 2021)
- Un chancel séparait désormais les deux groupes. L'accès au chœur n'était autorisé qu'au moment de la communion, y compris pour les femmes. — (Jean Heuclin, Hommes de Dieu et fonctionnaires du roi: en Gaule du Nord du Ve au IXe siècle , Presses Universitaires du Septentrion, 1998, lêmbëtï 114)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï