confesser
Palî
Sepeconfesser \kɔ̃.fe.se\ palî tî mbenze
- (Nzapä) fa sïökpärï/fa sïökpärï na gîgî, mä sïökpärï
- Une faute confessée est à demi pardonnée, une faute qu’on avoue en devient plus pardonnable.
- C’est le diable à confesser, se dit en parlant d’un aveu difficile à obtenir et en général d’une chose difficile à faire.
- Lorsque je me confessais à un abbé, je lui avouais mes relations avec Notre-Seigneur, avec la Vierge, avec les Anges ; aussitôt il me traitait de folle quand il ne m’accusait pas d’être possédée par le démon ; en fin de compte, il refusait de m’absoudre. — (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale , Plon-Nourrit, 1915)
- Le prêtre qui l’a confessé.
- Ce prêtre a confessé un grand nombre de pénitents.
- Un instant, dans sa détresse, elle songea à tout confesser à son grand-père. Il la gronderait doucement, mais sans doute, il la comprendrait. — (« Zaheira » na Out-el-Kouloub, Trois contes de l'Amour et de la Mort , 1940)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine