Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe
 
1 Un homme se confesse.

confesser \kɔ̃.fe.se\ palî tî mbenze

  1. (Nzapä) fa sïökpärï/fa sïökpärï na gîgî, mä sïökpärï
    • Une faute confessée est à demi pardonnée, une faute qu’on avoue en devient plus pardonnable.
    • C’est le diable à confesser, se dit en parlant d’un aveu difficile à obtenir et en général d’une chose difficile à faire.
    • Lorsque je me confessais à un abbé, je lui avouais mes relations avec Notre-Seigneur, avec la Vierge, avec les Anges ; aussitôt il me traitait de folle quand il ne m’accusait pas d’être possédée par le démon ; en fin de compte, il refusait de m’absoudre. — (Joris-Karl HuysmansLa Cathédrale , Plon-Nourrit, 1915)
      • Le prêtre qui l’a confessé.
      • Ce prêtre a confessé un grand nombre de pénitents.
      • Un instant, dans sa détresse, elle songea à tout confesser à son grand-père. Il la gronderait doucement, mais sans doute, il la comprendrait. — (« Zaheira » na Out-el-KouloubTrois contes de l'Amour et de la Mort , 1940)

Âlïndïpa

Sepe