Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

consentement \kɔ̃.sɑ̃t.mɑ̃\ linô kôlï

  1. mângbi, yëngö-da, yëkängö
    • Je ne prétends pas rester chez vous sans votre consentement ; mais si je sors, la mort m’attend à la barrière. Et quelle mort ! vous en répondriez à Dieu. — (Honoré de BalzacLa Femme de trente ans , 1855)
    • Elle lui avait demandé son consentement à notre mariage, qu’il avait accordé ; tout allait donc bien de ce côté-là. — (Alexandre DumasLes Mille et Un Fantômes )
    • Et, de plus, il travaille pour la patrie, avec le consentement enthousiaste de tout ce que la France contient de repopulateurs. — (Victor MéricLes Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 75)
    • Cet homme fut John Wesley. Au début de sa vie il avait été, à Oxford, un anglican latitudinaire et qui tenait la foi pour un consentement rationnel. — (André MauroisHistoire de l'Angleterre , Fayard & Cie, 1937, lêmbëtï 599)
    • Peut-être parce que, depuis le XIe siècle, la seule théorie politique de l’islam a été celle de l’obéissance passive à toute autorité de facto, le gouvernement par consentement reste un concept inconnu : l’autocratie a été la véritable et, pour l’essentiel, l’unique expérience. — (Panayiotis Jerasimof VatikiotisL’Islam et l’État , gbïänngö tî Odette Guitard, 1992, 1987, lêmbëtï 38)
    • Car la menace ne suffit pas pour faire régner l’ordre. Il y faut aussi suffisamment de droit et de progrès pour obtenir le consentement des peuples. — (Pour un autre monde ; Un autre chemin , motion pour le congrès socialiste de Dijon, 16 au 18 Mbängü 2003)

Âlïndïpa

Sepe