conte
Pandôo
Sepeconte \kɔ̃t\ linô kôlï
- tere, tolï
- Le lion a complètement disparu de la région dont nous nous occupons; mais il joue un grand rôle dans les contes indigènes, qui le représentent comme un animal essentiellement noble et magnanime. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Paris : Ernest Leroux, 1904, lêmbëtï 224)
- Le conte remonte à la nuit des temps puisqu’il y a les contes orientaux (des Mille et Une Nuits), les paraboles des Évangiles, les récits hassidiques des communautés juives polonaises, les contes de fées, les contes fantastiques, etc. L’oralité est le facteur commun extérieur. — (« Raconte-moi une histoire… » na Michel Tournier, Les vertes lectures , collection Folio, 2007, lêmbëtï 22)
- Ce n’est pas une histoire véritable, c’est un conte.
- (Mbumbuse) mbai,mbaye
- C’est un conte fort plaisant.
- Un mauvais conte.
- N’écoutez pas cet homme, ce qu’il vous dit n’est qu’un conte fait à plaisir.
- Ce n’est qu’un conte en l’air.
- (Hëngö-ndo) Voilà un beau conte !
- — Séparez ces deux hommes, dit le papa de Louis ; ils vont s’entendre sur les contes qu’ils nous feront. » — (Comtesse de Ségur, Mémoires d’un âne , 1860)
- Or, lassé de servir de tête de massacre,
Des contes à mourir debout qu’on me consacre,
Moi qui me porte bien, qui respire la santé,
Je m’avance et je crie toute la vérité. — (« Le Bulletin de santé » na Georges Brassens, Supplique pour être enterré à la plage de Sète , Album, 1966)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï