Yângâ tî Farânzi Sepe

Palî Sepe

convoiter \kɔ̃.vwa.te\ palî tî mbenze

  1. sâra nzara
    • Le 19 octobre 1852, le prince Louis-Napoléon, encore président de la République, mais convoitant ardemment l’hérédité impériale, avait dit dans un discours […]. — (Émile de GirardinLe dossier de la Guerre de 1870 , 23 septembre 1877, préface)
    • Peut-être donnerait-elle au Maître un garçon. Eh bien! tant mieux! la fortune, du moins, n’irait pas aux neveux et aux cousins du Cheikh qui la convoitaient déjà. — (« Zaheira » na Out-el-KouloubTrois contes de l’Amour et de la Mort , 1940)
    • Faites une France très forte, et nul n’osera jamais convoiter ses colonies. Laissez la France se débiliter davantage et son empire colonial, d’une manière ou d’une autre, s’écroulera. — (Ludovic NaudeauLa France se regarde , 1931)
    • C’est ainsi que, dans l’Antiquité, les riches vallées du Nil et de l’Euphrate (Mésopotamie) furent toujours convoitées par des hordes conquérantes. — (Panayiotis Jerasimof Vatikiotis, L’Islam et l’État , 1987, traduction d’Odette Guitard, 1992, lêmbëtï 163)
    • Elle saisit le feuillage d’une façon très-singulière, faisant sortir pour cet effet une langue longue, rugueuse, très-étroite et noire, en l’entortillant autour de l’objet qu’elle convoîte. — (Étienne Geoffroy Saint-HilaireQuelques Considérations sur la Girafe , 1827)

Âlïndïpa Sepe