Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Le cou d’un homme.

cou \ku\ linô kôlï

  1. (Sêndâ-saterê)
    • Son cou était un peu long peut-être ; mais ces sortes de cous sont les plus gracieux, et donnent aux têtes de femmes de vagues affinités avec les magnétiques ondulations du serpent. — (Honoré de BalzacLa Femme de trente ans , 1855)
    • Dans cette agréable attitude, sa tête, inclinée vers son pied, étalait un cou de proconsul, large et fort, et laissait deviner l’ornière des omoplates, revêtues d’une chair brune et abondante. — (Charles BaudelaireLa Fanfarlo , 1847 ; Gallimard, 2012, collection Folio, lêmbëtï 53)
    • Et puis, il a desserré peu à peu le crin, dégagé le cou. Il s’est assuré que la bête est indemne, la strangulation inefficace encore. — (Jean RogissartPassantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï