coucou
Pandôo
Sepecoucou \ku.ku\ linô kôlï
- (Ndeke) (Nyama) tûutûu/dûudûu
- Les coucous ne font point de nid et déposent leurs œufs dans celui des autres oiseaux.
- Sans doute, la femelle du coucou, dans le but d’assurer à son propre jeune une nourriture suffisante, détruit quelques œufs de passereaux insectivores. — (Bulletin , na yïndä tî Société royale forestière de Belgique, 1921, Volume 24)
- Puisque nous sommes sur le terrain philologique ou linguistique, et que nous venons de tuer un coucou, oiseau qui dans tous les pays a reçu un nom onomatopéen, nous allons voir ce que peut la différence d'oreilles. Le coucou s'appelle kounjou en chinois; kouti en tibétain; koukouchka en russe; kakou en dialecte tarantchi; pakou en ousbeg. — (Gabriel Bonvalot, De Paris au Tonkin à travers le Tibet inconnu , Éditions Olizane, 2008, lêmbëtï 420)
- tî wabübä, bûburû
- Bien des commentateurs ne comprennent tout simplement pas que des électeurs normalement constitués se soient permis de voter pour lui, sauf à diagnostiquer chez eux de basses pulsions racistes, sexistes et complotistes. Sa candidature attire assurément des coucous. — (Mathieu Bock-Côté, « Dans la tête des trumpistes » na Le Journal de Montréal , 4 Nabändüru 2020)
- Bref, monsieur et madame Tout-le-monde ont suivi le gouvernement, mais pas aveuglément.
Ils posaient des questions quand il y avait des questions à poser.
La manifestation de dimanche dernier pour la reprise des sports d’équipe en était le parfait exemple.
Ce n’était pas un rassemblement de coucous. — (Richard Martineau, « Un an plus tard, hommage au gros bon sens » na Le Journal de Québec , 11 Mbängü 2021)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï