Bâa ngâ : coupé

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo 1

Sepe
 
Coupe (2) à blanc-étoc

coupe \kup\ linô gâlï

  1. fängö
    • Pour preuve que ce chômage d'hiver est la cause principale de la misère dans les campagnes , il nous suffira de citer les communes qui avoisinent les forêts dans lesquelles il se fait des coupes régulières pendant l'hiver. Les ouvriers ont du travail, et il n'y a pas d'indigents. — (« Économie et législation rurales : Travaux des sections, séance du 20 janvier » na Comptes rendus des travaux de la Société des agriculteurs de France , Paris, 1872, tome 3, annuaire de 1872, lêmbëtï 522)
    • Rien n’est plus efficace pour redresser les arbres et pour leur donner une tige droite et nette, que la coupe faite au pied. — (Georges Louis LeclercExp. sur les végét. 2e mém. )
    • Cette association puissante a tourné ses vues vers la coupe du bois, vers la multiplication des troupeaux, vers le coton et le cacao, mais principalement vers le tabac. — (Abbé RaynalHistorique Phil. , XIII, 12.)
    • Vers le temps de la coupe des blés, on entendait au lever de l’aurore les petites sonneries de nos hameaux. — (François René ChateaubriandGénie , IV, I, 1)
    • Faire des coupes dans une substance : La couper en différents sens pour en examiner la structure.
    • Il faisait d’une partie qu’il examinait toutes les coupes différentes qu’il pouvait imaginer, pour la voir de tous sens. — (Bernard le Bouyer de FontenelleDu Verney )
    • Cette étoffe est dure à la coupe : Elle résiste au ciseau, et, en la coupant, on s’aperçoit qu’elle est dure.
    • La coupe du gâteau qu’on fait pour le jour des Rois.

Pandôo 2

Sepe
 
Exemples de coupes (sens 1)
 
Armoiries avec 3 coupes (sens héraldique)
 
As de coupe à portrait espagnol

coupe \kup\ linô gâlï

  1. kopo, kangû tî wên
    • Le Prince était perdu dans ses méditations. Il les interrompit cependant pour boire à l’Empereur, en levant une coupe de champagne. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 147)
    • Piquez-vous de n'avoir que peu de besoins. Diogène, voyant un enfant boire dans sa main, jeta sa coupe dans la mer en disant : "Encore une chose dont je puis me passer". — (Alphonse KarrMenus propos , 1859)
      • Le droit de « copponage » ou « couponage » tirait son nom du mot « coupe ». — (Le Bugey (Belley, Ain), 1909 )

Âlïndïpa

Sepe