Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

créature \kʁe.a.tyʁ\ linô gâlï

    • En 1214, il fit hommage du sénéchalat de Champagne à la comtesse Blanche et à son fils Thibaut, mineur, qu'il jura de défendre, comme étant son homme lige, contre les fils du comte Henri et contre toute créature morte ou vivante. — (Paulin Paris, « Essai sur la généalogie des sires de Joinville », chap. 10 de la, « Notice sur les manuscrits du sire de Joinville » na Histoire de Saint Louis , par Jehan Sire de Joinville, Paris : chez Firmin Didot frères, fils & Cie, 1859, page CXXXIII)
    • Les créatures animées.
    • Les créatures inanimées.
    • L’homme est une créature raisonnable.
  1. wâlï
    • Il se parlait comme à lui-même, le Hollandais : « L’inconvénient des Italiennes, c’est qu’elles sont joueuses, terriblement… » Joueuses ? Où voulait-il en venir ? « Oh ! je disais ça, à cause d’une amie que j’aie eue, étant jeune, une Florentine… une créature adorable… mais joueuse ! » — (Louis AragonLes Beaux Quartiers , 1936, lêmbëtï 408)
    • Mais quand une créature arrive ainsi, son excuse doit être dans une certitude d’éclipser en tendresse, en beauté, la maîtresse la plus adorée. — (Honoré de BalzacModeste Mignon , 1844 ; 1855, édition Houssiaux)
    • À l’en croire, c’était lui qui dansait, qui levait la jambe, qui se dandinait, tellement il se donnait de mal pour communiquer à ces merveilleuses mais stupides créatures un peu du feu sacré dont il les prétendait dépourvues. — (Francis CarcoL’Homme de minuit , 1938)
  2. zo
    • Ils [Sidoine et Médéric] avisèrent […] un bonhomme d’aspect misérable. À leur approche, la pauvre créature se leva. — (Émile ZolaContes à Ninon , 1864, lêmbëtï 313)
    • Oh ! les hommes, Marie-Anne, les hommes ! Quelles créatures adorables ! — (Marcel AyméUranus , 1948, lêmbëtï 257)

Âlïndïpa Sepe