Yângâ tî Farânzi

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Le crépuscule. (1)

crépuscule \kʁe.pys.kyl\ linô kôlï

  1. lâkûi
    • Il était huit heures. En cette saison, le crépuscule jette alors ses dernières lueurs. — (Honoré de BalzacModeste Mignon , 1844 ; 1855, édition Houssiaux)
    • Dans ces régions le crépuscule n’existe pas ; dès que le soleil a disparu, la nuit est complète. — (Gustave AimardLes Trappeurs de l’Arkansas , 1858)
    • Au bout d'une heure nous atteignons la cime, du haut de laquelle on domine tout l'archipel féroésien; contemplée au crépuscule de minuit, cette vue est d'une incomparable magnificence. — (Jules LeclercqLa Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla , Paris : E. Plon & Cie, 1883, lêmbëtï 35)
    • Ainsi, d'aurore radieuse en crépuscule mélancolique, la petite Yasmina avait vu s'écouler encore un printemps, très semblable aux autres, qui se confondaient dans sa mémoire. — (Isabelle EberhardtYasmina , 1902)
    • …la discussion ne paraissant point épuisée, ils continuèrent, dans le crépuscule qui tombait, à marcher en devisant. — (« La Disparition mystérieuse » na Louis PergaudLes Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
    • Mais, sur ta si petite planète, il te suffisait de tirer ta chaise de quelques pas. Et tu regardais le crépuscule chaque fois que tu le désirais… — (Antoine de Saint-ExupéryLe petit Prince , Reynal and Hitchcock, 1943)
    • Là-bas, le crépuscule n’existe pas. Il suffisait de s’assoupir un instant sur la terrasse de Sidi-Bou-Saïd et la nuit était tombée.— (Patrick ModianoLivret de famille , Gallimard, collection Folio, 1977, lêmbëtï 191)

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