Bâa ngâ : , , de, dêe

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo 1

Sepe
 
à coudre.
 
Dés à jouer.

\de\ linô kôlï

  1. (Füngö-bongö) dêe
    • Ma tante, voici le de ma mère, je le gardais précieusement dans ma toilette de voyage, dit Charles en présentant un joli d’or à madame Grandet, qui depuis dix ans en désirait un, — (Honoré de BalzacEugénie Grandet , 1834 ; édition Houssiaux de 1855)
    • – Je n’ai pas une croûte de pain, pas un os. – Et de la choucroute ? – Pas de quoi mettre dans le de ma femme !— (Honoré de BalzacL'Auberge rouge , 1831)
    • — Je ne vous en veux plus d’être venue, dit-elle enfin ; et fouillant dans un coffret de bois dur : « je voudrais que vous emportiez un souvenir de cette visite, que vous n’aurez peut-être pas l’occasion de renouveler. Voici un mauvais petit d’argent, mais qui a été mon premier. Prenez-le, et si jamais il vous arrivait quelque chose de grave où je puisse vous servir, envoyez-le moi avec votre adresse et quelqu’un passera chez vous de ma part. » — (Paul-Jean TouletMon Amie Nane , 1922)
    • Une des couturières lui apprit l’air et chantonnait avec lui, tirant ses bas qui tombaient et son sarrau qui remontait ; il s’en alla après les avoir embrassées toutes, même la fille Renaud qui n’avait ni cils ni sourcils, et il n’eut pas la malice de mêler leurs dés. — (Jean GiraudouxProvinciales , Grasset, 1922, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 98)

Âlïndïpa

Sepe