Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

découcher \de.ku.ʃe\ kürü palî

  1. längö na gîgî
    • D’abord, plaisanté par Clara, il avait découché. — (Émile ZolaAu Bonheur des Dames , G. Charpentier et E. Fasquelle, 1883, chapitre XIII, lêmbëtï 435)
    • Les premiers temps Berthe faisait dix ou vingt francs, rien que pour « un moment », car Maurice ne voulait pas qu’elle découchât. Ils retrouvaient leur ancienne abondance d’argent, le métier n’était pas dur pour elle qui rentrait toujours vers dix heures et pour lui non plus qui ne restait pas trop longtemps à l’attendre. — (Charles-Louis PhilippeBubu de Montparnasse , 1901, réédition Garnier-Flammarion, lêmbëtï 81)
    • — Mais non! mais non! m'sieu le curé, pensez-vous que j’voudrais découcher du presbytère. — (Rodolphe GirardMarie Calumet , Montréal, 1904, chapitre XVI)
    • Le chien, qui se faisait vieux et n’aimait point à découcher, était, comme d’habitude, rentré dès le premier soir et gardait le coin du feu, car on était en hiver. — (« Le Retour » na Louis PergaudLes Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)

Âlïndïpa

Sepe