Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pasûndâ

Sepe

délabré \de.lɑ.bʁe\ linô kôlï

  1. gbägbä
    • Pareils à des vaisseaux délabrés, avant de trouver l’infaillible naufrage, nous laissons un débris de nous-mêmes sur tous les écueils. — (Alfred de VignyCinq-Marschapitre XXIII, 1826)
    • Au cours des dernières années, les affaires avaient marché cahin-caha, avec une prédisposition romanesque à l’insécurité, dans une petite échoppe délabrée ouvrant sur la Grand’Rue. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 43)
    • Rares et maigres, pauvres et silencieuses étaient les localités traversées et, dans celles-ci, nombreuses étaient les demeures manifestement abandonnées, les bicoques délabrées où tout en fait des ruines. — (Ludovic NaudeauLa France se regarde , 1931)
    • Le couvent était un édifice trapu et délabré, dont le toit ressemblait plutôt à de la tôle ondulée qu’à un pinacle gothique. — (Terry EagletonThe Gatekeeper: A Memoir , 2001)

Âlïndïpa

Sepe