Bâa ngâ : Depression, depression

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

dépression \de.pʁɛ.sjɔ̃\ linô gâlï

  1. (Könöngö) vundû
    • Stress, dépression, infarctus… Les maux sont nombreux. 20 % des arrêts de travail de deux à quatre mois résultent de troubles mentaux du comportement, d’après une étude de l’assurance maladie de 2004. — (Emmanuelle Souffi, « Souffrance au travail. La fin d’un tabou » na L’Usine nouvelle , 4 Ngberere 2007)
    • Aussi contre-culturelle soit-elle, la tristesse, passagère, est une émotion « normale ». Elle se distingue de la dépression qui, elle, est une maladie définie par l'association de plusieurs symptômes installés durablement : humeur triste, perte d'intérêt pour des sources de plaisir, manifestations corporelles concernant l'appétit, le sommeil et la fatigue. Elle s'accompagne parfois d'idées de mort. — (Jean-Guilhem XerriLa vie profonde , éditions du Cerf, Paris, 2021, âlêmbëtï 86-87)
    • Le diagnostic différentiel de l’apathie et de la dépression reste un véritable défi lancé au clinicien, certains symptômes étant communs, le manque de motivation en particulier. — (Psychopathologie et neurosciences : Questions actuelles de neurosciences cognitives et affectives , sous la direction de Salvatore Campanella et Emmanuel Streel, De Boeck Supérieur, 2008, lêmbëtï 247)
    • Comme le souligne le professeur de sociologie Marcelo Otero, à chaque époque correspond une manière de souffrir. « Au début du siècle dernier, c'était la névrose. Aujourd'hui, c'est la dépression — (Jocelyn Giroux et Denis Laliberté, « Entre embâcles et méandres » na Argument , automne-hiver 2017, volume 19, nömörö 1, lêmbëtï 47)

Âlïndïpa

Sepe