Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

dérobade \de.ʁɔ.bad\ linô gâlï

  1. kpëngö
    • Ce cheval a fait une dérobade.
    • Ceux qui traitent la dérobade de lâcheté ne devaient pas reprocher à Abel de ne pas s’être enfui devant la provocation de Caïn, mais bien de n’avoir pas su se préparer à de tels affrontements. — (Richard GouletLa philosophie de Moïse: essai de reconstitution d’un commentaire philosophique préphilonien du Pentateuque , 1987)
    • Enfin, il souffrait physiquement. Cette souffrance était grande‫ ; ‬mais, même si elle eût été moindre, elle eût encore été terrible pour un être dont toutes les lâchetés devant la rudesse de la vie s’étaient conjurées depuis longtemps pour le maintenir dans cette dérobade complète du paradis artificiel. Il n’y avait en lui aucune ressource qui puisse le défendre contre la douleur. — (Pierre Drieu La RochelleLe Feu follet (1931) )
    • Marcel Drouin […] me fit sentir l’incorrection [d’une telle démarche], et je la sentais bien de moi-même ; mais rien ne m’est plus difficile qu’un geste qui peut paraître une dérobade. — (André GideJournal 1889-1939Bibliothèque de la Pléiade, Éditions Gallimard, 1951, lêmbëtï 327)
    • (Zäzämä) Cette réponse n’est qu’une dérobade.

Âlïndïpa

Sepe