Pandôo

Sepe

dancing \ˈdɑːn.sɪŋ\

  1. (Nguru) dödô

Âlïndïpa

Sepe

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

dancing \dɑ̃.siŋ\ linô kôlï

  1. dadödô
    • Les Berlinois de la Société ne fréquentent jamais ce dancing vulgaire où la jeunesse brune et les « sous-offs » de la garnison fraternisent. — (Xavier de HauteclocqueLa tragédie brune , Nouvelle Revue Critique, 1934, lêmbëtï 77)
    • Deux des Allemands leur ont parlé d’un dancing curieux où l’on trouve des taxi-boys. — (Maurice DekobraLe sabbat des caresses , Éditions Baudinière, 1935, lêmbëtï 39)
    • Lorsqu'il a racheté ce petit dancing, en 1986, ce n'était qu'un modeste « parquet » où les sexagénaires des villages entre Narbonne et Béziers aimaient se retrouver le samedi soir pour danser le tango et la valse au rythme d'un orchestre local. L'endroit était franchement has been et la clientèle s'amenuisait. « Le Gentleman » était, à l'époque, une espèce de construction provisoire. — (Eric Brunet, « Combien de verres dans une bouteille ? » na La Bêtise administrative: Excès absurdités bavures et autres scandales , éd. Albin Michel, 1998)

Âlïndïpa

Sepe