deuxième bureau
Penzelö tî pandôo
Sepedeuxième bureau \dø.zjɛm by.ʁo\ linô kôlï
- da tî ndeko
- (Könöngö) ndeko
- Pourtant Helena essaya tout d’abord d’échapper au sort peu enviable de « deuxième bureau », car on sait comment finissent les malheureuses concubines quand leur beauté se flétrit et que leurs maîtres s’en lassent : on leur construit dans un quartier éloigné ou, mieux encore, sur quelque colline d’une préfecture encore plus lointaine une misérable case où elles dépérissent, rongées d’amertume, entourées de leurs bâtards et du mépris de tous, réduites à vendre quelques bouteilles de Primus en place de leur corps décrépit. — (Scholastique Mukasonga, « Le Malheur d’être belle » na nouvelle du recueil L’Iguifou , 2010, âlêmbëtï 6-87)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine