Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Diplôme de Charles de Provence qui confirme les privilèges de l’abbaye de l’Île Barbe. (1)

diplôme \di.plom\ linô kôlï

  1. makandâ, dïplômo
    • Plus tard, des gens d'une intelligence garantie par des diplômes parleraient gravement de préméditation, comme si cela pouvait avoir un rapport quelconque avec son cas. — (« Cour d'assises (1941) » na Georges SimenonŒuvres complètes , éditions Rencontre, Lausanne, ch. VII, lêmbëtï 358)
    • Il fallait à coups de citations et de références, de mémoires et de thèses, se frayer la voie du diplôme grâce auquel on serait dispensé d’accroître ses connaissances.— (Richard JorifLe Burelain , éditions François Bourin, 1989, lêmbëtï 160)
    • La motivation à poursuivre des études est très forte, puisque les diplômes ont un réel impact économique et personnel. Mais en cherchant à obtenir toujours plus de diplômes, les jeunes entrent plus tard dans la vie active. Ils restent donc dépendants plus longtemps et n’obtiennent pas forcément de poste à la hauteur de leurs qualifications. — (Marie Duru-BellatLe bac, un standard bicentenaire , Propos recueillis par Géraldine Véron, Le journal du CNRS, Föndo 2008)
    • Le certificat d'études primaires a donné des sueurs froides à des générations d'enfants de 1866 à 1989. Le diplôme attestait des connaissances acquises par l'élève de 11 à 13 ans au terme de l'enseignement primaire obligatoire. Sorte de championnat de France de l'éducation, l'examen était très sélectif et, au début du XXe siècle, seulement 30 % des candidats décrochaient leur diplôme. — (Auriez-vous eu votre certificat d'études en 1923 ? , na yïndä tî sous la direction de Carine Girac-Marinier, éd. Larousse, 2013, Préface)

Âlïndïpa

Sepe